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La création d’entreprise : une quête de soi

Comme 30% des français, vous sentez-vous dans une dynamique entrepreneuriale ? Simple intention ou réel projet, et si c’était le moment… maintenant… le moment de franchir ces obstacles, le moment de « devenir soi » comme le titre du livre de Jacques Attali. Derrière la création d’entreprise se cache cette envie de prendre le contrôle de sa vie professionnelle et de se réaliser.

Franchir les obstacles :

L’aventure entrepreneuriale est semée d’obstacles. Nous pensons en premier lieu aux obstacles administratifs et financiers. En effet, ils sont présents mais sont-ils les premiers freins à la réussite de la création d’entreprise ? Les différentes études révèlent des obstacles plus personnels : la peur de l’échec, la solitude (pour 97% des créations d’entreprise, il s’agit d’une aventure solitaire), les doutes, la gestion du temps, la peur de soi, …

Une quête identitaire :

Si beaucoup de créateurs se lancent vers l’âge de 35-40 ans, cela en dit long sur le lien entre quête identitaire, logique de sens et création d’entreprise. La crise de milieu de vie est le moment où l’individu a une volonté de changement, de remise en question : qui suis-je ? qu’ai-je accompli jusqu’à maintenant ? Parfois ce sont des événements qui poussent au changement. L’individu est en quête de Soi et de sens. Pour réussir, la création d’entreprise ne doit pas se faire totalement en réaction, mais en quête de sens, d’un idéal identitaire, de la congruence qui est l’apport principal du coaching. Car cette congruence apporte un pouvoir de conviction incroyable et ce sentiment d’être irrésistible, en accord parfait avec son existence et ses choix.

La résilience :

Beaucoup de dirigeants n’en sont pas à leur première création d’entreprise. Ils ont cette faculté de tirer enseignement de leur échec. Pour eux, l’échec est l’apprentissage de la réussite. Pour certains, c’est même un événement vécu comme un traumatisme qui génère l’envie d’entreprendre. Parlons alors de résilience, cette capacité de résister aux aléas de la vie, comme le roseau qui se plie mais ne rompt pas, de tirer de ces expériences le meilleur, d’en faire une force et un moteur de changement. Cette qualité est nécessaire au dirigeant-créateur, et la solitude de son rôle renforce cette nécessité.

La passion au cœur :

Quand quelqu’un est passionné par ce qu’il fait il suscite l’intérêt. Quand un dirigeant est passionné, il suscite la motivation de son équipe, l’intérêt de ses clients, il véhicule la conviction auprès des banquiers. Le coaching s’attache à remettre les passions et les valeurs au cœur des réalisations.

Le besoin d’accomplissement :

Il implique la volonté de réaliser son rêve avec, au cœur, la passion qui multiplie la satisfaction. Cependant ce n’est pas toujours le cas : la création ou reprise d’entreprise découle parfois d’une initiative en réaction à une situation non souhaitée. La réussite de ce type de projet sera liée à la capacité du dirigeant à endosser ce rôle.

L’apport du coaching :

Et si le coaching était l’accompagnement qui vous manque pour réussir votre création et passer du rêve à la réalité ? Le processus de coaching mobilise les ressources du client pour qu’il soit en position de prendre le contrôle de sa vie. Le coaching amène à prendre du recul. Il conduit le client sur le chemin de la congruence : celui qui bâtit un projet en cohérence avec ce que l’on est, avec ses valeurs, « un projet qui a du sens ».